Bon anniversaire Final Fantasy XIV !

Votre expérience avec FF XIV

Sous notre tweet mais aussi sur nos autres réseaux sociaux, nous avons eu beaucoup de réponses avec diverses expériences sur le jeu.
Voici notre sélection. 

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De « Velvet » 

Mon aventure FF14 commence une première fois en 2013. Je crée un personnage sur Ragnarok, pour rejoindre un petit groupe d’amis qui avaient débuté le jeu quelques temps auparavant. La prise en main est laborieuse : les MMO et moi, ça fait deux ! Je n’ai absolument pas l’habitude du clavier/souris, ayant joué toute ma vie sur console, et le souvenir de mon premier Sastasha (le premier donjon du jeu) est, euh, très peu reluisant : je ne regarde pas la map, j’ignore ce qu’est un tank et je lui passe allégrement devant pour avancer dans la caverne, et j’attire donc à moi tous les ennemis que je croise, qui me tapent, et je préfère fuir dans tous les sens quitte à me perdre dans la grotte plutôt que de balancer des Ruines et laisser mon tank reprendre l’inimitié… bref, la panique totale et un carnage sans nom. Autant dire que je ne continue pas le jeu dans l’immédiat, d’autant plus que mes études IRL ne me laissent pas vraiment le temps de jouer. Tant pis, XVI sera à l’instar de XI, un FF que je ne ferai pas… …ou pas ! Nouvelle tentative d’aventure en 2016, cette fois avec ma meilleure amie et deux autres copines, direction le serveur Odin. Je crée ma petite Velvet Titania en me basant sur le personnage de Odin Sphere, et qui deviendra mon pseudonyme principal pour les années à venir, ainsi que mon nom d’artiste. Je joue arcaniste en attendant avec impatience de devenir Invocatrice, parce que je ne veux pas jouer autre chose que cette classe : je veux prendre la suite de Grenat et Yuna. Bien sûr je finis malgré tout par tester les autres classes, comme le Mage Noir ou le Mage Blanc, mais décidément le DPS me va mieux que le heal. Quant au tank… mieux vaut ne pas en parler !

C’est mon amie qui me motive à me connecter. Comme sur ma première partie, c’est dur de s’accrocher à un MMO, de se familiariser avec des termes nouveaux, de s’habituer à jouer au clavier et à la souris… mais j’y arrive, et petit à petit, se connecter devient plus facile, moins angoissant.
C’est véritablement à Heavensward que je tombe amoureuse d’Eorzea. Dragonsong est encore aujourd’hui une de mes pistes favorites. L’aventure continue avec l’intégration d’une CL, pour finalement la quitter et en rejoindre une autre plus casu. Je passe des heures sur le jeu et j’adore ça. Arrive Stormblood, je suis sur le pied de guerre day one, mais une connexion en carton m’empêche d’avancer comme je le souhaite. Les files d’attente sont déjà présentes et me frustrent grandement. Mais j’avance et jouer tard aide beaucoup. C’est aussi à cette extension que je découvre les premiers sadiques, qu’on m’emmène dessus, que je découvre un challenge d’un autre niveau. Je change de monde et pars sur Louisoix pour rejoindre une nouvelle CL, à l’activité plus importante. J’y reste longtemps, les bons moments se multipliant. Je rencontre même mon compagnon dans cette CL, où mon enthousiasme sur les cartes aux trésors de l’Aquapole l’a bien marqué (imaginez la fille qui hurle « arc-en-ciel » dans l’espoir d’ouvrir la salle suivante…) ! Je ralentis sur la fin de Stormblood et j’attends plusieurs mois avant de me mettre à Shadowbringer. Je profite de l’extension, merveilleuse, un cran au-dessus encore par rapport à Stormblood. Elle rivalise même avec Heavensward pour moi. Je joue casu en revanche, car les sadiques m’ont légèrement usée. Je m’y remets pourtant en fin d’extension, pour aller tomber E9S. J’y arrive, la confiance remonte. Et déjà c’est Endwalker, présente avant même le day one avec l’accès anticipé. Après la claque de Shadowbringer, j’ai un peu peur de ce que je vais trouver dans cette extension qui marque la fin de l’arc Zordiarche/Hydaelyn. Une peur finalement infondée ! J’ai du mal à décrocher de l’épopée, je veux savoir où va nous mener cette histoire. J’ai mentionné Dragonsong plus tôt dans ce texte, mais l’OST du jeu n’a jamais cessé de m’enchanter et je suis déjà en train de rechercher la bande son sur Internet pour l’écouter toute la journée, en attendant de pouvoir rentrer jouer. Il y a des exclamations, du souffle coupé, des larmes parfois qui accompagnent mon expérience de jeu. Et je remercie la moi du passé qui n’a pas abandonné le jeu en 2016, car clairement, il s’agit d’un de mes FF préférés (le meilleur étant le IX bien entendu !).

Aujourd’hui je suis encore dans une phase ralentie, un peu comme mon post-Stormblood d’il y a quelques années, mais je ne doute pas que la hype reviendra pour Dawntrail !

De « Benji »

Commencé par ARR fin 2014, c’est mon premier mmo et il fallait que je prenne mes marques. Arrivé lvl 30, les vacances scolaires finissent et je délaisse le jeu malgré le bon feeling que j’ai. J’ai quand même fait mes premiers dj avec d’autres joueurs assez sympa et bienveillants. Cependant, il faudra attendre mi 2016 pour que je m’y remette et passe d’arcaniste à invocateur, aui est encore mon main job aujourd’hui. Et là je t’enchaîne tout jusqu’à fin heavensward. J’avais rejoins une guilde avec des gens sympathiques et dans laquelle il y avait souvent des activités de groupe. Je monte quelques classes mais je fini par faire une pause en attendant l’arrivée de stormblood. Après la fin de cette dernière extension, l’activité de guilde a fortement baissé, j’ai du mal à trouvé un groupe dans lequel j’ai envie de rester. Ça sera surtout des rattrapages d’épopée au fil des patchs et extensions par la suite entrecoupée de périodes d’inactivité. Je dirais qu’après avoir été un gros coup de cœur, ça reste un jeu que j’adore mais où je n’arrive plus à m’investir « à fond » Par contre, j’adore aider quand je peux et découvrir les raids ect. Toujours un peu la peur de mourir comme un débile et avoir l’air con, je me rattrape en lançant des rez par çi par là.

Notre expérience avec FFXIV

Après vous, à notre tour d’en parler ! Joueurs aguerris ou non, on a tous une histoire avec cet opus. 

Astrena

Playiku

Comme tout le monde, mon expérience de Final Fantasy XIV est unique. Je pense que je peux dire sans hésitation qu’elle m’a fait grandir et a forgé la personne que je suis aujourd’hui. Mon premier saut dans le monde d’Éorzéa a été… une grosse déception. En tant que fan de Final Fantasy XI, j’étais habitué à un monde plus difficile, plus dur et “violent” où il fallait vraiment se battre et y mettre du sien pour profiter du jeu. Le côté très « friendly » de FFXIV, où tout est donné sur un plateau, ne m’a absolument pas convaincu, et j’ai donc très rapidement arrêté de jouer. Par les aléas de la vie, je me suis remis à jouer, cette fois-ci en compagnie de mon meilleur ami. En acceptant la philosophie « casual » de FFXIV, j’ai enfin pu pleinement profiter de tout ce qu’il avait à offrir. Au-delà des qualités indéniables du jeu, c’est l’expérience humaine qui m’a le plus marqué. J’ai toujours été quelqu’un de solitaire, mais j’ai été pris au jeu des rencontres. D’abord dans les nombreuses compagnies libres que j’ai rejointes, puis lorsque je me suis mis à créer mon groupe pour le contenu haut niveau (aussi appelé “vis ma vie d’assistante-social ♥”), et enfin, lors de ma découverte du roleplay. Chaque rencontre, qu’elle ait été bonne ou mauvaise, m’a appris quelque chose, sur les autres, sur le monde, et sur moi-même. Nombreuses d’entre elles m’ont aussi permis de me découvrir des passions, de me faire des amis, (dont de fil en aiguille, la team de FFDream ! ), de grandir et donc de devenir la personne que je suis aujourd’hui. Bien sûr, tout cela pourrait peut-être s’appliquer à n’importe quel MMORPG, mais je pense que FFXIV à quelque chose de spécial. En plus d’une histoire, d’un lore, et de musiques incroyables, c’est un jeu porté par l’amour de ses développeurs. Et cela se ressent tant dans leur univers que dans la communauté qui leur rends bien. Ce qui contribue à créer un monde unique, que je ne pourrais que vous conseiller d’explorer seul ou.. entre amis ♪.

Yunnie

Mon histoire avec Final Fantasy XIV est assez courte. Mais j’ai connu le jeu à ses débuts quand l’extension Heavensward était à peine sortie. J’avais une barde. J’y ai rencontré des gens très sympas et ma compagnie était « Les Moldus ». J’ai adoré me replonger dans un univers Final Fantasy avec toutes les références que nous aimons tant. J’y avais même rencontré mon ancien copain dessus. 
Parfois j’ai des envies de rejouer et de tout repartir à zéro mais le temps me manque malheureusement. Il n’en reste pas moins un excellent jeu, et j’y vois même le jeu parfait pour rendre honneur et hommage à notre saga. 

Alex

Mon expérience avec FF XIV est assez particulière… Ayant longtemps eu une connexion internet en carton, je ne me suis intéressé au titre qu’en 2017 alors que Stormblood venait de sortir. J’ai commencé à parcourir Éorzéa avec ma Mi’quote maître d’hast mais je ne m’amusais pas vraiment… C’était mon premier MMORPG et la profusion d’infos et de quêtes qui semblaient apparaître à l’infini m’ont fait me perdre dans une spirale de contenu annexe si bien que j’ai perdu le fil du scénario que je ne trouvais pas bien palpitant de toute manière…

Septembre 2020, je décide de retenter l’expérience. Pour ce nouveau départ, je change l’apparence de ma guerrière pour jouer une Ao’Ra. Fini de se perdre en contenu secondaire, je me concentre uniquement sur la quête principale avec quelques écarts pour rencontrer Hildibrand ou jouer au Triple Triad. Un mois plus tard, ARR est terminé mais le temps demandé étant beaucoup trop important, je laisse de nouveau le jeu de côté.

Juin 2022. Les membres du Discord ont réussi le travail de persuasion, je reprends mon épopée. Enfin, presque puisqu’un problème de mot de passe oublié ainsi qu’un changement de console retarde mon retour d’une dizaine de jours… Katleen Danes fait finalement son comeback et je débute Heavensward. La ville principale est magnifique, le scénario beaucoup plus intéressant et enfin je commence à percevoir les qualités tant vantées du titre. J’en profite pour monter un deuxième job, le chevalier noir, et durant un mois je ne fait que jouer à FF XIV. Et c’est d’ailleurs là le « souci » que j’ai avec le jeu : il est tellement prenant et demandeur en temps qu’il ne laisse que très peu de place aux autres titres… Une fois la cité d’Ishgard sauvée, je prends une nouvelle pause avec la certitude d’y revenir un jour ou l’autre…

L’univers de FF XIV est très agréable à parcourir et les milliers de références et autres clins d’œil sont vraiment amusants à débusquer. Malgré de très nombreux emprunts, FF XIV parvient à se créer sa propre identité tout en intégrant de manière intéressante des éléments d’autres épisodes et c’est un véritable tour de force au succès mérité. Si j’ai personnellement du mal avec la structure des MMO, le fait de pouvoir jouer totalement en solo est un plus non négligeable qui m’a grandement aidé.