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Si les dernières déclarations de Square Enix (la licence Bravely devrait compter un titre par an ! ) dénotent avec la sous-traitance de Bravely Default en Occident, cela nous aura au moins permis de toucher à ce petit bijou du J-RPG. Cela faisait longtemps, trop longtemps, que Square Enix n’était pas parvenu à contenter autant de joueurs. Le revers de la médaille est que Nintendo ne badine pas avec les petits clins d’œil coquins, et les jeunes-filles de quinze ans arborant de jolies culottes. Cela fait mauvais genre, et Square Enix a dû en conséquence revoir sa copie et rhabiller (un brin) plus chaudement ses protagonistes. Pour se conformer à nos bonnes mœurs, certains personnages ont pris trois ans pour enfin jouir d’une majorité libérée (et notamment Edea). Heureusement, cela n’altère en rien le scénario, mais ces petites anecdotes prêtent toujours à sourire !

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Edea est priée de se rhabiller. Son décolleté plongeant et sa culotte dénotent avec la politique Nintendo.